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10 avril

à

RoboCup Académique ( Paris )

Pourquoi mesurer son éloquence change tout

#développement #prisedeparoleenpublic #softskills

Publié: 1 octobre 2025

Sommaire

Table des matières

Rapidmooc dans l’éducation

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La peur de parler en public est loin d’être marginale : selon certaines études, environ 77 % de la population éprouve une forme d’anxiété liée à la prise de parole en public (source : crowncounseling.com).
Ce constat nous rappelle que parler clairement, avec impact, est une compétence précieuse… mais rarement maîtrisée sans retour objectif. C’est là qu’intervient la notion de mesure de la performance oratoire, petit plus qui transforme radicalement la façon dont on s’entraîne, progresse et se présente aux autres.

Le pouvoir du chiffre sur le ressenti

Quand on s’enregistre, on croit souvent qu’on parle bien… jusqu’à ce qu’on la revoie. Le ressenti est trompeur.

  • Le bon débit recommandé pour maximiser la compréhension sans surcharger l’audience est d’environ 100 à 120 mots par minute (teleprompter.com).

  • Parler trop vite entraîne une articulation discontinue et un discours trop lent perd en énergie fédératrice.

🎬 Astuce pratique : filmez-vous sur un texte court (1 minutes), lisez à voix normale, puis visionnez l’enregistrement. Comparez votre début à 100-120 mots / minute. Cela donne une première base de calibrage.

💡 Astuce Rapidmooc : le rapport analytique calcule votre début en temps réel pendant le tournage (ou après l’enregistrement pour une vidéo déjà réalisée) et vous indique votre cadence, tout en précisant la zone optimale à viser.

100-120 mots

par minute, débit recommandé pour maximiser la compréhension de votre discours

Les tics de langage nuisent à la crédibilité

Des mots comme « euh », « alors », « tu sais » peuvent semble anodins, mais leur usage excessif nuit à la fluidité et à la perception de confiance.

  • Une étude montre que l’usage excessif de ces termes diminue la crédibilité perçue de l’orateur, tout en gênant la compréhension du message (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov).

  • Une autre étude indique qu’à partir de 12 mots d’hésitation par minute, l’autorité oratoire diminue significativement (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov).

  • La recherche en neurosciences indique enfin que chaque mot d’hésitation en trop peut activer une réponse neurochimique du public, interprétée comme hésitation ou doute chez le locuteur (forbes.com).

🎬 Conseil pratique : enregistrez-vous pendant 2 à 3 minutes, puis ouvrez un éditeur texte et cherchez les répétitions. Combien de « euh », « donc », « en fait » apparaissent? Au lieu de les prononcer, octroyez-vous une pause silencieuse.

💡 Astuce Rapidmooc : le rapport répertorie vos mots les plus répétitifs et leur fréquence, pour que vous sachiez précisément lesquels surveiller.

La clarté : une articulation et une structure indispensables

Un discours bien pensé mais mal articulé perd de sa puissance. Sans la forme, le fond n’est rien. Articulation balbutiante, phrases longues, enchaînements désordonnés, ce sont des failles invisibles qui doivent être corrigées.

  • Une étude sur la variabilité articulatoire montre que parler vite (ou fort) peut augmenter la dispersion des mouvements articulatoires, rendant le discours moins précis (pmc.ncbi.nlm.nih.gov).

  • L’attention de votre audience peut vaciller à tout moment : des phrases trop longues ou une articulation hachée peut faire chuter son engagement en quelques secondes.

Préférez des phrases en-dessous de

15 mots

en moyenne

🎬 Astuce pratique : visez des phrases de moins de 15 mots en moyenne. Lisez lentement en articulant exagérément, puis détendez-vous progressivement. Testez votre version condensée face à la version initiale : laquelle est comprise plus facilement par un tiers ?

💡 Astuce Rapidmooc : l’IA évalue votre clarté globale et met en évidence les passages nécessitant une amélioration, ce qui vous donne une feuille de route claire pour progresser

La boucle vertueuse de la mesure et de l'amélioration continue

Mesurer l’éloquence crée un cycle :

  1. Enregistrer
  2. Recevoir un rapport objectif
  3. Identifier les axes d’amélioration
  4. Revenir à l’enregistrement suivant avec un objectif précis

Sans mesure, on s’ajuste à tâtons de façon approximative. Avec des chiffres, on progresse de façon concrète, en quantité et en qualité. Une étude montre que l’accès à un feedback immédiat réduit significativement l’usage des mots-valise, dès la première application.

Conseil pratique : choisissez un indicateur (ex: les mots d’hésitation) et concentrez votre entraînement là-dessus pendant 5 à 7 enregistrements. Une fois stabilisé, passez au suivant.

💡 Astuce Rapidmooc : chaque session est archivée avec son compte-rendu. Vous pouvez suivre votre progression mois après mois, et ainsi visualiser votre « courbe d’éloquence ».

Conclusion

Mesurer son éloquence change la donne. Ce n’est pas une quête de perfection : c’est un chemin vers une expression plus claire, plus assurée et plus impactante.

Grâce aux outils modernes tels que le Rapidmooc Coach IA, vous obtenez un retour chiffré instantané, qui transforme chaque prise de parole en séance d’entraînement progressive.

Si vous voulez passer de « bon orateur » à « communicant charismatique », commencez aujourd’hui : filmez-vous, analysez vos métriques et affinez un point à la fois.

Défi : pour votre prochaine vidéo, choisissez un indicateur à améliorer (débit, tics de langage ou clarté). Comparez le rapport avant/après 10 sessions. Vous verrez la différence.